A l’heure où notre société propose tous les jours de nouvelles tech­­­­­­­­­no­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­gies sensées nous faire gagner du temps, je ne trouve plus le sommeil et mes jour­­­­­­­­­nées filent à toute allure. C’est l’es­­­­­­­­­souf­­­­­­­­­fle­­­­­­­­­ment perma­nent. Pour apai­­­­­­­­­ser le rythme effréné de la vie, je me rends au monas­­­­­­­­­tère, une manière de me libé­­­­­­­­­rer du temps tota­­­­­­­­­li­­­­­­­­­taire pour un moment de suspen­­­­­­­­­sion, d’in­­­­­­­­­fini.
Notre société est caden­­­­­­­­­cée par le temps horlo­­­­­­­­­ger. Cette course est-elle une réponse à l’an­­­­­­­­­goisse de notre fini­­­­­­­­­tude ?
Avec humour et poésie, voici une invi­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­tion à ques­­­­­­­­­tion­­­­­­­­­ner notre rapport au temps. L’im­­­­­­­­­pres­­­­­­­­­sion de « temps qui nous manque », nous fait courir après le « temps qui nous reste »

Entrée gratuite / bar sur place

Avec le soutien du Centre Cultu­­­­­­­­­rel de Dison