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Focus sur la régio­nale du Luxem­bourg

Peggy, anima­­­­­trice et Domi­­­­­nique, respon­­­­­sable de la régio­­­­­nale

C’est dans un tout nouveau local fraî­­­­­­­­­­­che­­­­­­­­­­­ment repeint et décoré à quatre mains que je rencontre les deux travailleuses de la régio­­­­­­­­­­­nale. Nouveau local, nouvelle éner­­­­­­­­­­­gie, c’est un vent de fraî­­­­­­­­­­­cheur et d’en­­­­­­­­­­­thou­­­­­­­­­­­siasme qui m’ac­­­­­­­­­­­cueille.

Régio­­­­­­­­­­­nale la plus grande par son terri­­­­­­­­­­­toire qui regroupe pas moins de 44 communes sur une super­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­fi­­­­­­­­­­­cie de plus de 4.000 km², le Luxem­­­­­­­­­­­bourg est aussi la province la moins peuplée de Belgique. Ici pas de grand bassin indus­­­­­­­­­­­triel, pas de grand centre urbain (Arlon, son chef-lieu compte 30.000 habi­­­­­­­­­­­tants) mais une écono­­­­­­­­­­­mie axée sur la rura­­­­­­­­­­­lité, l’ex­­­­­­­­­­­ploi­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion
fores­­­­­­­­­­­tière et sur les services.

Quatre grands thèmes sont au centre du travail de la régio­­­­­­­­­­­nale, thèmes issus des préoc­­­­­­­­­­­cu­­­­­­­­­­­pa­­­­­­­­­­­tions liées au terri­­­­­­­­­­­toire luxem­­­­­­­­­­­bour­­­­­­­­­­­geois : alimen­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion et écolo­­­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­­­laire, migra­­­­­­­­­­­tion et enjeux de la démo­­­­­­­­­­­cra­­­­­­­­­­­tie mise à mal, loge­­­­­­­­­­­ment et éner­­­­­­­­­­­gie.

L’ali­­­­­­­­­­­men­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion et l’éco­­­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­­­laire

De la fourche à la four­­­­­­­­­­­chette, c’est le nom du projet qui se construit petit à petit autour de la volonté de travailler à la sécu­­­­­­­­­­­rité sociale de l‘ali­­­­­­­­­­­men­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion. Le titre prend volon­­­­­­­­­­­tai­­­­­­­­­­­re­­­­­­­­­­­ment le contre­­­­­­­­­­­pied du slogan « de la fourche à la four­­­­­­­­­­­chette », car les porteurs du projet (Gal Romana et Les Equipes Popu­­­­­­­­­­­laires) sont convain­­­­­­­­­­­cus que la demande d’une alimen­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion de qualité doit venir du consom­­­­­­­­­­­ma­­­­­­­­­­­teur.

a sécu­­­­­­­­­­­rité sociale de l’ali­­­­­­­­­­­men­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion est un concept systé­­­­­­­­­­­mique qui vise à faire le lien entre l’ali­­­­­­­­­­­men­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion saine, le rapport à la nature, l’éco­­­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­­­gie et les droits sociaux. L’ou­­­­­­­­­­­til de la bous­­­­­­­­­­­sole de Bruno Latour sera utilisé pour décor­­­­­­­­­­­tiquer le sujet et donner des lignes direc­­­­­­­­­­­trices. Un ques­­­­­­­­­­­tion­­­­­­­­­­­naire sur le rapport à l’ali­­­­­­­­­­­men­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion sera prochai­­­­­­­­­­­ne­­­­­­­­­­­ment distri­­­­­­­­­­­bué large­­­­­­­­­­­ment auprès de la popu­­­­­­­­­­­la­­­­­­­­­­­tion.

Dans ce parte­­­­­­­­­­­na­­­­­­­­­­­riat, en vue de toucher un public varié, les EP prévoient de déve­­­­­­­­­­­lop­­­­­­­­­­­per quatre dyna­­­­­­­­­­­miques :
• Des ateliers cuisine à partir d’in­­­­­­­­­­­ven­­­­­­­­­­­dus récu­­­­­­­­­­­pé­­­­­­­­­­­rés auprès des grandes surfaces les plus proches ;
• Des ateliers d’ar­­­­­­­­­­­pen­­­­­­­­­­­tage de livres consa­­­­­­­­­­­crés à l’éco­­­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­­­gie ;
• Des soirées « ciné-débat » autour notam­­­­­­­­­­­ment du docu­­­­­­­­­­­men­­­­­­­­­­­taire ZUT « Zones Urgentes à Trans­­­­­­­­­­­for­­­­­­­­­­­mer » et
• Des ateliers jeu, notam­­­­­­­­­­­ment à partir du jeu de “la ficelle” réédité pour la sécu­­­­­­­­­­­rité sociale de l’ali­­­­­­­­­­­men­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion et d’un autre jeu sur la sécu­­­­­­­­­­­rité sociale.

Les migra­­­­­­­­­­­tions et les enjeux démo­­­­­­­­­­­cra­­­­­­­­­­­tiques

Le MOC du Luxem­­­­­­­­­­­bourg travaille actuel­­­­­­­­­­­le­­­­­­­­­­­ment à la mise en place d’une « zone de droits », c’est-à-dire un espace d’ac­­­­­­­­­­­cueil où migrants et sans-papiers peuvent venir cher­­­­­­­­­­­cher des infos en toute sécu­­­­­­­­­­­rité. Les Equipes Popu­­­­­­­­­­­laires prennent une place active au sein du projet en parti­­­­­­­­­­­ci­­­­­­­­­­­pant à un groupe de travail qui vise à analy­­­­­­­­­­­ser les besoins des migrants et sans-papiers sur le terri­­­­­­­­­­­toire luxem­­­­­­­­­­­bour­­­­­­­­­­­geois et en orga­­­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­­­sant des perma­­­­­­­­­­­nences de la zone de droits. Au sein de cet espace seront dispo­­­­­­­­­­­nibles une série d’ou­­­­­­­­­­­tils d’in­­­­­­­­­­­for­­­­­­­­­­­ma­­­­­­­­­­­tion sur les droits et démarches à faire pour les migrants. Des contacts seront aussi possibles avec des avocats volon­­­­­­­­­­­taires et d’autres personnes ressources pour répondre à leurs ques­­­­­­­­­­­tions.

Dans un premier temps, cet espace « zone de droits » s’or­­­­­­­­­ga­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­sera dans les locaux du MOC à Arlon. Puis après une première évalua­­­­­­­­­tion, le souhait sera sans doute de déve­­­­­­­­­lop­­­­­­­­­per un projet simi­­­­­­­­­laire à Marche-en-Famenne. La province du Luxem­­­­­­­­­bourg a plusieurs centres d’asile sur son
terri­­­­­­­­­toire. Les EP prévoient d’y orga­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­ser des ateliers d’his­­­­­­­­­toires digi­­­­­­­­­tales pour permettre aux migrants de se racon­­­­­­­­­ter, de mettre en mots leur parcours d’exil, leurs diffi­­­­­­­­­cul­­­­­­­­­tés face à la complexité des démarches à effec­­­­­­­­­tuer, leur ressenti de racisme et toutes formes de discours de repli iden­­­­­­­­­ti­­­­­­­­­taire fort marqué dans certaines communes de la province.

Le CFO, Collec­­­­­­­­­tif des femmes qui l’ouvrent, créé suite à la montée de l’ex­­­­­­­­­trême droite lors des dernières élec­­­­­­­­­tions, prévoit de déve­­­­­­­­­lop­­­­­­­­­per une nouvelle action de sensi­­­­­­­­­bi­­­­­­­­­li­­­­­­­­­sa­­­­­­­­­tion à travers une campagne d’af­­­­­­­­­fi­­­­­­­­­chage de photos autour du slogan « je résis­­­­­­­­­te… je m’af­­­­­­­­­fiche » et une réflexion de
décons­­­­­­­­­truc­­­­­­­­­tion du discours de l’ex­­­­­­­­­trême droite. Le groupe porteur composé de 6 personnes envi­­­­­­­­­ron est très vite rejoint par une cinquan­­­­­­­­­taine de personnes quand il s’agit de passer à l’ac­­­­­­­­­tion ! Des travailleurs du Crilux (Centre régio­­­­­­­­­nal d’in­­­­­­­­­té­­­­­­­­­gra­­­­­­­­­tion de la province du Luxem­­­­­­­­­bourg) et des Equipes Popu­­­­­­­­­laires viennent en soutien au collec­­­­­­­­­tif en coor­­­­­­­­­don­­­­­­­­­nant le projet, finançant le maté­­­­­­­­­riel néces­­­­­­­­­saire aux actions et mettant à dispo­­­­­­­­­si­­­­­­­­­tion leur temps de travail.

Collec­­­­­tif des femmes qui l’ouvrent, action Résis­­­­­tons !

La régio­­­­­­­­­nale est aussi parte­­­­­­­­­naire de la Coluxam (Coor­­­­­­­­­di­­­­­­­­­na­­­­­­­­­tion Luxem­­­­­­­­­bour­­­­­­­­­geoise Asile Migra­­­­­­­­­tion) qui orga­­­­­­­­­nise des inter­­­­­­­­­­­­­­­­­pel­­­­­­­­­la­­­­­­­­­tions poli­­­­­­­­­tiques auprès des communes de la province. Les Equipes Popu­­­­­­­­­laires ont construit et parti­­­­­­­­­cipé aux inter­­­­­­­­­­­­­­­­­pel­­­­­­­­­la­­­­­­­­­tions des communes de Hotton et de Viel­­­­­­­­­salm fin 2022. Une anima­­­­­­­­­tion était orga­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­sée entre citoyens, asso­­­­­­­­­cia­­­­­­­­­tions et élus pour travailler ensemble à un regard posi­­­­­­­­­tif sur la migra­­­­­­­­­tion à partir de la ques­­­­­­­­­tion « Qu’est-ce que la migra­­­­­­­­­tion apporte de
posi­­­­­­­­­tif à ma commune ? ». Des inter­­­­­­­­­­­­­­­­­pel­­­­­­­­­la­­­­­­­­­tions sont prévues dans 6 communes de la province. Une synthèse de toutes les rencontres sera rédi­­­­­­­­­gée et aidera à déter­­­­­­­­­mi­­­­­­­­­ner la suite des actions. Avec la Coluxam, les EP parti­­­­­­­­­cipent toujours acti­­­­­­­­­ve­­­­­­­­­ment aux événe­­­­­­­­­ments orga­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­sés autour du 20 juin (jour­­­­­­­­­née mondiale des réfu­­­­­­­­­giés) et du 18 décembre (jour­­­­­­­­­née inter­­­­­­­­­­­­­­­­­na­­­­­­­­­tio­­­­­­­­­nale des migrants).

L’ac­­­­­­­­­cès à un loge­­­­­­­­­ment décent et à l’éner­­­­­­­­­gie

Le MOC de la province du Luxem­­­­­­­­­bourg a mis en place un groupe de travail sur le loge­­­­­­­­­ment pour faire un premier état des lieux de la situa­­­­­­­­­tion, des problé­­­­­­­­­ma­­­­­­­­­tiques rele­­­­­­­­­vées sur le terri­­­­­­­­­toire. Trois AIS (agence immo­­­­­­­­­bi­­­­­­­­­lière sociale) existent sur la province mais ne suffisent pas à répondre aux demandes des loca­­­­­­­­­taires. Une seule AIS témoigne dénom­­­­­­­­­brer 450 personnes en attente d’un loge­­­­­­­­­ment. Le groupe souhaite commen­­­­­­­­­cer un recen­­­­­­­­­se­­­­­­­­­ment des loge­­­­­­­­­ments vides. Qui dit loge­­­­­­­­­ment dit éner­­­­­­­­­gie… Que dire si ce n’est l’ur­­­­­­­­­gence de cette ques­­­­­­­­­tion pour de nombreux ménages. La régio­­­­­­­­­nale souhaite prendre le thème de l’ac­­­­­­­­­cès à l’éner­­­­­­­­­gie à bras-le-corps et propo­­­­­­­­­ser la mise en place d’un nouveau groupe de béné­­­­­­­­­voles qui pour­­­­­­­­­raient aider les personnes qui doivent faire face à des diffi­­­­­­­­­cul­­­­­­­­­tés de démarches à faire auprès de leur four­­­­­­­­­nis­­­­­­­­­seur ou auprès d’un service social.

Bien­­­­­­­­­tôt une Pop’­­­­­­­­­mo­­­­­­­­­bile

Projet en gesta­­­­­­­­­tion, la pop’­­­­­­­­­mo­­­­­­­­­bile sera un véhi­­­­­­­­­cule origi­­­­­­­­­nal, visuel­­­­­­­­­le­­­­­­­­­ment attrac­­­­­­­­­tif qui se dépla­­­­­­­­­cera pour se poser dans les communes rurales et orga­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­ser des cafés citoyens. Nous avons trop l’ha­­­­­­­­­bi­­­­­­­­­tude de s’at­­­­­­­­­tendre à ce que les gens viennent et parti­­­­­­­­­cipent aux acti­­­­­­­­­vi­­­­­­­­­tés que l’on orga­­­­­­­­­nise. L’idée de la pop’­­­­­­­­­mo­­­­­­­­­bile est de se dépla­­­­­­­­­cer là où se trouvent les gens, de partir à leur rencontre dans leurs villages, dans leurs lieux de vie. La première tour­­­­­­­­­née de la pop’­­­­­­­­­mo­­­­­­­­­bile s’or­­­­­­­­­ga­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­sera autour de la ques­­­­­­­­­tion « Et si on bâtis­­­­­­­­­sait quelque chose ensemble, ce serait quoi ? », dans l’objec­­­­­­­­­tif d’iden­­­­­­­­­ti­­­­­­­­­fier les enjeux du terri­­­­­­­­­toire et les besoins réels des habi­­­­­­­­­tants.

Un atelier histoires digi­­­­­­­­­tales

Un atelier de créa­­­­­­­­­tion d’his­­­­­­­­­toires digi­­­­­­­­­tales va se mettre en place dès fin février avec les aînés de la commune de Tellin. Ils déter­­­­­­­­­mi­­­­­­­­­ne­­­­­­­­­ront ensemble le message qu’ils ont envie de faire passer. C’est bien sûr aussi l’oc­­­­­­­­­ca­­­­­­­­­sion de se fami­­­­­­­­­lia­­­­­­­­­ri­­­­­­­­­ser avec un outil de mise en page comme Canva et une façon de réduire la frac­­­­­­­­­ture numé­­­­­­­­­rique.

Une colla­­­­­­­­­bo­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­tion avec des AID

A Bastogne et à Tinti­­­­­­­­­gny, des colla­­­­­­­­­bo­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­tions avec des AID se pour­­­­­­­­­suivent. Ces anima­­­­­­­­­tions menées avec un public de personnes en forma­­­­­­­­­tion permettent de faire décou­­­­­­­­­vrir la richesse de l’édu­­­­­­­­­ca­­­­­­­­­tion perma­­­­­­­­­nente. Il n’est pas rare que ces personnes décident ensuite de rejoindre des acti­­­­­­­­­vi­­­­­­­­­tés menées par la régio­­­­­­­­­nale.

Des balades en colla­­­­­­­­­bo­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­tion avec la régio­­­­­­­­­nale de Namur

Les régio­­­­­­­­­nales du Luxem­­­­­­­­­bourg et de Namur ont décidé d’or­­­­­­­­­ga­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­ser des acti­­­­­­­­­vi­­­­­­­­­tés conjointes, pour croi­­­­­­­­­ser leurs regards, pour varier les pratiques, pour reboos­­­­­­­­­ter les travailleur·eu­­­­­­­­­se·s. Une balade a été orga­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­sée à la fron­­­­­­­­­tière entre les deux provinces. Qu’êtes-vous prêt à quit­­­­­­­­­ter/aban­­­­­­­­­don­­­­­­­­­ner ? était la ques­­­­­­­­­tion posée à chacun pendant la pause café. Cette balade a permis la rencontre d’une quaran­­­­­­­­­taine de personnes qui ont pu avoir une première approche de l’édu­­­­­­­­­ca­­­­­­­­­tion perma­­­­­­­­­nente, et poser une série de ques­­­­­­­­­tions sur notre mouve­­­­­­­­­ment. Elles ont aussi échangé sur des pistes possibles pour un avenir souhai­­­­­­­­­table et durable pour tous. C’est sûr, vu le dyna­­­­­­­­­misme et l’éner­­­­­­­­­gie parta­­­­­­­­­gés ce jour-là, les deux régio­­­­­­­­­nales ne vont pas en rester là. Elles réflé­­­­­­­­­chissent déjà à la suite à donner à ce premier événe­­­­­­­­­ment…

Nouveauté : coin papote critique

Un coin papote critique s’ouvre dans le tout nouveau local des EP situé 26A rue Victor Libert à Marche-en-Famenne. La première édition est program­­­­­­­­­mée le 23 mars à 18h30. Une occa­­­­­­­­­sion de faire connais­­­­­­­­­sance et de pendre la crémaillère.

La spéci­­­­­­­­­fi­­­­­­­­­cité de la régio­­­­­­­­­nale du Luxem­­­­­­­­­bourg ?

Une volonté d’être au plus près des gens, dans leurs réali­­­­­­­­­tés, de s’adres­­­­­­­­­ser à « Monsieur et Madame Tout-le-Monde », de parler un langage clair, et de propo­­­­­­­­­ser des acti­­­­­­­­­vi­­­­­­­­­tés acces­­­­­­­­­sibles à tou·­­­­­­­­­te·s, en portant une atten­­­­­­­­­tion parti­­­­­­­­­cu­­­­­­­­­lière à la dimen­­­­­­­­­sion artis­­­­­­­­­tique et créa­­­­­­­­­tive. Après tout, mettre de
la beauté et de la poésie dans nos projets et dans nos quar­­­­­­­­­tiers ne peut faire de tort à personne, que du contraire. On en a plutôt tou·­­­­­­­­­te·s besoin. Et ne dit-on pas que la beauté amène la beau­­­­­­­­­té… ? Alors à bon enten­­­­­­­­­deur…

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