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CONGRES / Un mouve­ment réso­lu­ment tourné vers l’ave­nir

Le 18 novembre fut, à bien des égards, une jour­­­­­­­­­­­née impor­­­­­­­­­­­tante pour notre mouve­­­­­­­­­­­ment. Entre les élec­­­­­­­­­­­tions de la prési­­­­­­­­­­­dence et du Conseil d’Ad­­­­­­­­­­­mi­­­­­­­­­­­nis­­­­­­­­­­­tra­­­­­­­­­­­tion, la mise en instruc­­­­­­­­­­­tion d’un éven­­­­­­­­­­­tuel pilo­­­­­­­­­­­tage à deux têtes et la pour­­­­­­­­­­­suite de nos travaux sur ce que nous enten­­­­­­­­­­­dons par écolo­­­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­­­laire, on peut dire que nous n’avons pas peur du chan­­­­­­­­­­­ge­­­­­­­­­­­ment aux Équipes Popu­­­­­­­­­­­laires. Retour sur un moment qui fera date.

Il est 8h30, c’est pour ainsi dire un samedi matin comme les autres, mais pas pour nous. Il est 8h30 et déjà les lieux qui accueillent notre Congrès « L’éco­­­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­­­laire et si c’était notre affaire ? » commencent à s’ani­­­­­­­­­­­mer. Très vite les espaces prennent vie, s’im­­­­­­­­­­­prègnent des rires, de la bonne humeur ambiante. On sent que les béné­­­­­­­­­­­voles, sympa­­­­­­­­­­­thi­­­­­­­­­­­sant·e·s, mili­­­­­­­­­­­tant·e·s sont content·e·s d’être là. Autour d’un chaleu­­­­­­­­­­­reux petit-déjeu­­­­­­­­­­­ner, on se redé­­­­­­­­­­­couvre, on se rencontre pour la première fois, on discute de tout et de rien. Tout ce petit monde a répondu large­­­­­­­­­­­ment présent à une invi­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion que l’on sait parti­­­­­­­­­­­cu­­­­­­­­­­­liè­­­­­­­­­­­re­­­­­­­­­­­ment impor­­­­­­­­­­­tante dans l’his­­­­­­­­­­­toire de l’as­­­­­­­­­­­so­­­­­­­­­­­cia­­­­­­­­­­­tion. C’est une centaine de personnes qui ont bravé le froid, parfois au petit matin, pour nous rejoindre. Toutes ces personnes ont fait la route, certaines même venant de très loin pour écou­­­­­­­­­­­ter, voter, échan­­­­­­­­­­­ger, débattre avec nous. Elles ont consa­­­­­­­­­­­cré leur samedi à la vie démo­­­­­­­­­­­cra­­­­­­­­­­­tique du mouve­­­­­­­­­­­ment.

Une éner­­­­­­­­­­­gie posi­­­­­­­­­­­tive circule dans la salle. Heureu­­­­­­­­­­­se­­­­­­­­­­­ment, étant donné le contenu de la mati­­­­­­­­­­­née qui, sur papier, était des plus proto­­­­­­­­­­­co­­­­­­­­­­­laires avec, tout d’abord, le vote de la propo­­­­­­­­­­­si­­­­­­­­­­­tion de motion des régio­­­­­­­­­­­nales de Namur, du Luxem­­­­­­­­­­­bourg et de Verviers.

Celle-ci avait pour objet la mise à l’ins­­­­­­­­­­­truc­­­­­­­­­­­tion d’une copré­­­­­­­­­­­si­­­­­­­­­­­dence ou d’une fonc­­­­­­­­­­­tion assi­­­­­­­­­­­mi­­­­­­­­­­­lée pour diri­­­­­­­­­­­ger le mouve­­­­­­­­­­­ment. Le vote s’est dégagé nette­­­­­­­­­­­ment en faveur de la propo­­­­­­­­­­­si­­­­­­­­­­­tion. Cette demande a pour but de mieux répar­­­­­­­­­­­tir les tâches du·de la prési­­­­­­­­­­­dent·e et d’amé­­­­­­­­­­­lio­­­­­­­­­­­rer la proxi­­­­­­­­­­­mité du centre commu­­­­­­­­­­­nau­­­­­­­­­­­taire avec la vie régio­­­­­­­­­­­nale et la cohé­­­­­­­­­­­sion globale du mouve­­­­­­­­­­­ment, de renfor­­­­­­­­­­­cer l’ex­­­­­­­­­­­pres­­­­­­­­­­­sion poli­­­­­­­­­­­tique du mouve­­­­­­­­­­­ment dans l’es­­­­­­­­­­­pace public ainsi que la repré­­­­­­­­­­­sen­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion exté­­­­­­­­­­­rieure et l’im­­­­­­­­­­­pli­­­­­­­­­­­ca­­­­­­­­­­­tion dans les mandats occu­­­­­­­­­­­pés. Ce sera au/à la prési­­­­­­­­­­­dent·e nouvel­­­­­­­­­­­le­­­­­­­­­­­ment élu·e de faire le suivi de cette pros­­­­­­­­­­­pec­­­­­­­­­­­tion dès le premier trimestre de son mandat.

Résul­­­­­­­­­­­tats de vote serrés : du jamais vu aux Équipes Popu­­­­­­­­­­­laires !

Guillaume Lohest, président sortant. Char­­­­­­­­­lotte Renou­­­­­­­­­prez, prési­­­­­­­­­dente nouvel­­­­­­­­­le­­­­­­­­­ment élue pren­­­­­­­­­dra ses fonc­­­­­­­­­tions en janvier.

Les premiers applau­­­­­­­­­­­dis­­­­­­­­­­­se­­­­­­­­­­­ments reten­­­­­­­­­­­tissent alors qu’il est temps de passer au cœur de cette mati­­­­­­­­­­­née : le vote de celles et ceux qui tien­­­­­­­­­­­dront la barre du mouve­­­­­­­­­­­ment. Tout d’abord, le C.A. La prési­­­­­­­­­­­dence ensuite. Après la présen­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion et l’adop­­­­­­­­­­­tion de la procé­­­­­­­­­­­dure de vote, les régio­­­­­­­­­­­nales ont voté favo­­­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­­­ble­­­­­­­­­­­ment pour les candi­­­­­­­­­­­dat·e·s qui se présen­­­­­­­­­­­taient ce jour (Voir enca­­­­­­­­­­­dré). Féli­­­­­­­­­­­ci­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tions à Elisa­­­­­­­­­­­beth Beague (régio­­­­­­­­­­­nale du Brabant wallon), Paul Blanjean (régio­­­­­­­­­­­nale de Verviers), Robert Maes (régio­­­­­­­­­­­nale de Char­­­­­­­­­­­le­­­­­­­­­­­roi-Thuin), Thierry Monin (régio­­­­­­­­­­­nale de Namur), Sophie Pieters (régio­­­­­­­­­­­nale du Hainaut Centre), Daniel Ramon (régio­­­­­­­­­­­nale du Hainaut occi­­­­­­­­­­­den­­­­­­­­­­­tal), Monique Renard Koch (régio­­­­­­­­­­­nale de Verviers) et Shan Hsia (repré­­­­­­­­­­­sen­­­­­­­­­­­tante des secré­­­­­­­­­­­taires régio­­­­­­­­­­­naux) qui ont toutes et tous le point commun d’être impliqués sur le terrain. Tandis qu’une seconde salve d’ap­­­­­­­­­­­plau­­­­­­­­­­­dis­­­­­­­­­­­se­­­­­­­­­­­ments rythme l’an­­­­­­­­­­­nonce des résul­­­­­­­­­­­tats, le moment tant attendu arrive enfin.

Qui va être le visage qui défen­­­­­­­­­­­dra pour les trois prochaines années les valeurs du mouve­­­­­­­­­­­ment ? Sera-ce Guillaume Lohest, le président sortant ou Char­­­­­­­­­­­lotte Renou­­­­­­­­­­­prez, la secré­­­­­­­­­­­taire régio­­­­­­­­­­­nale de Bruxelles ? On sent dans la salle une pointe d’ex­­­­­­­­­­­ci­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion, le suspense est fort présent. Guillaume ou Char­­­­­­­­­­­lotte ? Char­­­­­­­­­­­lotte ou Guillaume ? On entend çà et là des excla­­­­­­­­­­­ma­­­­­­­­­­­tions… « Impos­­­­­­­­­­­sible de devi­­­­­­­­­­­ner », « Les deux candi­­­­­­­­­­­dats sont tous les deux à la hauteur ». Mais l’heure de la pause arrive. Il va falloir mettre de côté son impa­­­­­­­­­­­tience, ça tombe bien, l’heure du drink est arri­­­­­­­­­­­vée. Après une courte inter­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­rup­­­­­­­­­­­tion ponc­­­­­­­­­­­tuée par le tinte­­­­­­­­­­­ment des verres et les acco­­­­­­­­­­­lades autour de l’ex­­­­­­­­­­­po­­­­­­­­­­­si­­­­­­­­­­­tion sur le thème de l’éco­­­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­­­laire prépa­­­­­­­­­­­rée par les régio­­­­­­­­­­­nales du mouve­­­­­­­­­­­ment, tout s’ac­­­­­­­­­­­cé­­­­­­­­­­­lère, « on sait » désor­­­­­­­­­­­mais. « On connait la réponse. » C’est Char­­­­­­­­­­­lotte Renou­­­­­­­­­­­prez que le mouve­­­­­­­­­­­ment a élue prési­­­­­­­­­­­dente au terme d’un vote plus que serré. Char­­­­­­­­­­­lotte qui laisse avec certi­­­­­­­­­­­tude un vide dans sa régio­­­­­­­­­­­nale de Bruxelles. Pour celles et ceux qui ne la connai­­­­­­­­­­­traient pas encore tout à fait, Char­­­­­­­­­­­lotte a rejoint les Équipes Popu­­­­­­­­­­­laires voilà plus de cinq ans déjà, c’est à Bruxelles qu’elle contri­­­­­­­­­­­buait jusqu’ici à la vie du mouve­­­­­­­­­­­ment notam­­­­­­­­­­­ment sur les ques­­­­­­­­­­­tions liées au loge­­­­­­­­­­­ment. Sa déter­­­­­­­­­­­mi­­­­­­­­­­­na­­­­­­­­­­­tion dans les combats et sa volonté de rendre visibles les diffi­­­­­­­­­­­cul­­­­­­­­­­­tés rencon­­­­­­­­­­­trées ne manque­­­­­­­­­­­ront pas de nous renfor­­­­­­­­­­­cer. Elle entrera dans sa nouvelle fonc­­­­­­­­­­­tion en janvier. L’émo­­­­­­­­­­­tion est palpable dans la foule présente. Des discus­­­­­­­­­­­sions animées colorent les lieux. Le lunch est servi. Autour d’une soupe et d’un sand­­­­­­­­­­­wich, on prend le temps de débrie­­­­­­­­­­­fer la mati­­­­­­­­­­­née puis ce sont les échanges spon­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­nés qui prennent le dessus. On en profite pour regar­­­­­­­­­­­der plus atten­­­­­­­­­­­ti­­­­­­­­­­­ve­­­­­­­­­­­ment l’ex­­­­­­­­­­­po­­­­­­­­­­­si­­­­­­­­­­­tion « Déam­­­­­­­­­­­bu­­­­­­­­­­­la­­­­­­­­­­­tion au pays de l’éco­­­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­­­laire », on prend des nouvelles des un·e·s et des autres, on se met à jour sur l’ac­­­­­­­­­­­tua­­­­­­­­­­­lité des groupes auxquels on parti­­­­­­­­­­­cipe. On se change les idées avant d’amor­­­­­­­­­­­cer l’après-midi qui s’an­­­­­­­­­­­nonce dyna­­­­­­­­­­­mique mais costaude quand même après cette pause de midi bien remplie.

Tous ensemble autour de l’éco­­­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­­­laire

C’est sous forme d’ate­­­­­­­­­­­liers théma­­­­­­­­­­­tiques que l’on débute la seconde partie de jour­­­­­­­­­­­née. Cette démarche s’ins­­­­­­­­­­­crit dans la pour­­­­­­­­­­­suite de la réflexion initiée à la jour­­­­­­­­­­­née d’étude d’oc­­­­­­­­­­­tobre : construire notre vision de l’éco­­­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­­­laire. C’est quoi pour nous l’éco­­­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­­­laire ? Comment l’in­­­­­­­­­­­té­­­­­­­­­­­grer à nos théma­­­­­­­­­­­tiques d’ac­­­­­­­­­­­tion que sont l’ac­­­­­­­­­­­cueil et la migra­­­­­­­­­­­tion, l’ali­­­­­­­­­­­men­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion, le loge­­­­­­­­­­­ment, la démo­­­­­­­­­­­cra­­­­­­­­­­­tie, la mobi­­­­­­­­­­­lité, l’éner­­­­­­­­­­­gie, le numé­­­­­­­­­­­rique, la fisca­­­­­­­­­­­lité ? Au total, les parti­­­­­­­­­­­ci­­­­­­­­­­­pant·e·s ont rejoint huit sous­­-groupes théma­­­­­­­­­­­tiques dans lesquels iels ont donné leur avis sur ce que doit être ou plutôt ne pas être l’éco­­­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­­­laire, les points d’at­­­­­­­­­­­ten­­­­­­­­­­­tion à garder à l’es­­­­­­­­­­­prit, les idées à explo­­­­­­­­­­­rer, les désac­­­­­­­­­­­cords…

Ce fut vivant, anar­­­­­­­­­­­chique par moments, déstruc­­­­­­­­­­­turé, passionné, compliqué aussi pour certain·e·s et en réali­­­­­­­­­­­ser la synthèse n’a pas dû être simple étant donné les échanges proli­­­­­­­­­­­fiques. Normal quand on rassemble autant de personnes inté­­­­­­­­­res­­­­­­­­­sées par la mise en débat d’un tel sujet. La bonne volonté triomphe souvent aux Équipes Popu­­­­­­­­­laires, « On y arrive toujours au final » pour­­­­­­­­­rait d’ailleurs être notre mantra (certain·e·s se recon­­­­­­­­­nai­­­­­­­­­tront) et le moment de la mise en commun de la synthèse l’a une nouvelle fois démon­­­­­­­­­tré. Char­­­­­­­­­lotte et Guillaume ont présenté tour à tour les résul­­­­­­­­­tats du travail réalisé l’après-midi devant une salle toujours aussi comble, à laquelle se sont ajou­­­­­­­­­té·e·s nos invi­­­­­­­­­té·e·s : Ariane Estenne, prési­­­­­­­­­dente du MOC, Domi­­­­­­­­­nique Decoux, secré­­­­­­­­­taire géné­­­­­­­­­rale du MOC, Julien Gras, secré­­­­­­­­­taire poli­­­­­­­­­tique du MOC, Aurore Kesch, prési­­­­­­­­­dente de Vie fémi­­­­­­­­­nine et Marie-Hélène Ska, secré­­­­­­­­­taire géné­­­­­­­­­rale de la CSC.

Un des prin­­­­­­­­­ci­­­­­­­­­paux constats énon­­­­­­­­­cés, c’est qu’il est absurde et schi­­­­­­­­­zo­­­­­­­­­phrène d’in­­­­­­­­­ci­­­­­­­­­ter les indi­­­­­­­­­vi­­­­­­­­­dus à adop­­­­­­­­­ter des écogestes au sein d’une écono­­­­­­­­­mie capi­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­liste qui encou­­­­­­­­­rage la consom­­­­­­­­­ma­­­­­­­­­tion indus­­­­­­­­­trielle de masse et la publi­­­­­­­­­cité. L’éco­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­laire visera donc des solu­­­­­­­­­tions struc­­­­­­­­­tu­­­­­­­­­relles, orga­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­sera des alter­­­­­­­­­na­­­­­­­­­tives au marché, four­­­­­­­­­nira des services collec­­­­­­­­­tifs dans les domaines essen­­­­­­­­­tiels à une vie digne (éner­­­­­­­­­gie, loge­­­­­­­­­ment, eau, alimen­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­tion, mobi­­­­­­­­­lité, santé). Par exemple : la gratuité et le redé­­­­­­­­­ploie­­­­­­­­­ment massif des trans­­­­­­­­­ports en commun ; un grand plan d’iso­­­­­­­­­la­­­­­­­­­tion du parc loca­­­­­­­­­tif public ; une réap­­­­­­­­­pro­­­­­­­­­pria­­­­­­­­­tion collec­­­­­­­­­tive (publique et citoyenne) de l’éner­­­­­­­­­gie… Une écolo­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­laire est enfin une écolo­­­­­­­­­gie de l’éga­­­­­­­­­lité. Sa condi­­­­­­­­­tion d’exis­­­­­­­­­tence est la dimi­­­­­­­­­nu­­­­­­­­­tion des inéga­­­­­­­­­li­­­­­­­­­tés. La première des choses à faire est d’exi­­­­­­­­­ger et d’ob­­­­­­­­­te­­­­­­­­­nir, par la justice fiscale, une contri­­­­­­­­­bu­­­­­­­­­tion et une répa­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­tion de la part des entre­­­­­­­­­prises et des citoyens les plus riches. C’est un renver­­­­­­­­­se­­­­­­­­­ment de l’ima­­­­­­­­­gi­­­­­­­­­naire : il faut mettre des limites aux possi­­­­­­­­­bi­­­­­­­­­li­­­­­­­­­tés et aux désirs d’en­­­­­­­­­ri­­­­­­­­­chis­­­­­­­­­se­­­­­­­­­ment infini.

Nous allons conti­­­­­­­­­nuer à appro­­­­­­­­­fon­­­­­­­­­dir la théma­­­­­­­­­tique de l’éco­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­gie popu­­­­­­­­­laire et l’in­­­­­­­­­té­­­­­­­­­grer au maxi­­­­­­­­­mum dans nos pratiques, pas mal de défis s’an­­­­­­­­­noncent, comme nous le rappelle notre future prési­­­­­­­­­dente : « Les élec­­­­­­­­­tions à venir, les éven­­­­­­­­­tuelles restric­­­­­­­­­tions budgé­­­­­­­­­taires, l’ac­­­­­­­­­crois­­­­­­­­­se­­­­­­­­­ment des inéga­­­­­­­­­li­­­­­­­­­tés et de la pauvreté, les catas­­­­­­­­­trophes clima­­­­­­­­­tiques, la montée de la violence et de l’ex­­­­­­­­­trême droi­­­­­­­­­te… » Ceux-ci nous invitent à soigner nos liens : « Avoir un mouve­­­­­­­­­ment fort, soudé, uni, face aux défis inhé­­­­­­­­­rents à notre secteur, l’édu­­­­­­­­­ca­­­­­­­­­tion perma­­­­­­­­­nente, mais aussi face aux défis plus globaux qui nous attendent. (…) Notre travail d’édu­­­­­­­­­ca­­­­­­­­­tion perma­­­­­­­­­nente sera d’au­­­­­­­­­tant plus essen­­­­­­­­­tiel pour faire vivre les enjeux autour des élec­­­­­­­­­tions, décons­­­­­­­­­truire certains discours, aller au-delà du slogan, mais surtout défendre notre projet de société et nos valeurs d’éga­­­­­­­­­lité, de justice, de soli­­­­­­­­­da­­­­­­­­­rité inter­­­­­­­­­­­­­­­­­na­­­­­­­­­tio­­­­­­­­­nale dans un contexte poli­­­­­­­­­tique et social diffi­­­­­­­­­cile ».

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