La souf­france au travail prend des formes multiples, physiques et psycho­lo­giques. Elle concerne tous les secteurs d’ac­ti­vi­tés et sa mise en évidence par le récit des acci­dents du travail, des mala­dies profes­sion­nelles ou des burn-out consti­tue un des fonde­ments de la critique du système capi­ta­liste. Pour­tant, la souf­france au travail ne touche pas que le secteur privé. Elle gagne aussi, et de plus en plus, les secteurs du non-marchand et de l’as­so­cia­tif.

Muriel Vander­borght, Contrastes octobre 2023, p 18 à 20