Actualités

Action de grève

Pendant un mois, Vie Fémi­­­­­­­nine Luxem­­­­­­­bourg et les Équipes Popu­­­­­­­laires Luxem­­­­­­­bourg se sont asso­­­­­­­ciés pour se prépa­­­­­­­rer à la Jour­­­­­­­née Inter­­­­­­­na­­­­­­­tio­­­­­­­nale des droits des femmes du 8 mars !

Chaque semaine a eu lieu une action diffé­­­­­­­rente avec en apothéose une mani­­­­­­­fes­­­­­­­ta­­­­­­­tion de clôture statique le 8 mars devant l’hô­­­­­­­tel de ville d’Ar­­­­­­­lon.

Une des actions fût la récolte via les réseaux sociaux de messages créés par des citoyens sur des pierres et cailloux qui furent dispo­­­­­­­sées ensuite dans diffé­­­­­­­rents endroits de la Province et de prendre place de cette manière dans l’es­­­­­­­pace public.

Beau succès de parti­­­­­­­ci­­­­­­­pa­­­­­­­tion avec la récep­­­­­­­tion de plus de 50 pierres colo­­­­­­­rées dispo­­­­­­­sées dans nos contrées.

De belles pierres à l’édi­­­­­­­fice pour intro­­­­­­­duire la jour­­­­­­­née de grève.

« Même en Luxem­­­­­­­bourg, les femmes ne sont pas des roues de secours »

Quelques exemples de nos reven­­­­­­­di­­­­­­­ca­­­­­­­tions :

Il est temps que les droits des femmes soient respec­­­­­­­tés, déve­­­­­­­lop­­­­­­­pés et consi­­­­­­­dé­­­­­­­rés ! Plus qu’une jour­­­­­­­née de grève, le 8 mars est une jour­­­­­­­née de chan­­­­­­­ge­­­­­­­ment !

Quand on est sans papiers, l’ac­­­­­­­cès aux soins est encore plus compliqué, mais essen­­­­­­­tiel. Les femmes sont double­­­­­­­ment victimes de système, car elles sont souvent dans des services non décla­­­­­­­rés de soins et elles ont cousu des masques pour notre société quand l’état n’était pas en mesure d’en four­­­­­­­nir. Les personnes sans papiers devraient avoir accès aux soins comme les personnes qui ont leurs papiers, aussi pour les ques­­­­­­­tions de santé mentale.

Le temps que les droits des femmes soient respec­­­­­­­tés, déve­­­­­­­lop­­­­­­­pés et consi­­­­­­­dé­­­­­­­rés ! Plus qu’une jour­­­­­­­née de grève, le 8 mars est une jour­­­­­­­née de chan­­­­­­­ge­­­­­­­ment !

La pandé­­­­­­­mie a démon­­­­­­­tré de façon flagrante l’im­­­­­­­por­­­­­­­tance du soin dans nos socié­­­­­­­tés, et à quel point les poli­­­­­­­tiques néoli­­­­­­­bé­­­­­­­rales ont fragi­­­­­­­lisé ce secteur essen­­­­­­­tiel. Le confi­­­­­­­ne­­­­­­­ment a aussi montré à quel point notre société consi­­­­­­­dère que c’est aux femmes – et pas aux hommes – de soigner, de garder les enfants et de coudre des masques, quand la société vacille. Les femmes réclament depuis long­­­­­­­temps une poli­­­­­­­tique de soins parta­­­­­­­gée et acces­­­­­­­sible à toutes et tous ! Elles réclament aussi des partages et de la valo­­­­­­­ri­­­­­­­sa­­­­­­­tion tant au niveau privé que public

Au niveau des violences conju­­­­­­­gales, nous consta­­­­­­­tons qu’elles ont été plus diffi­­­­­­­ciles pour les femmes durant la pandé­­­­­­­mie et il n’y a pas de services spéci­­­­­­­fiques pour accom­­­­­­­pa­­­­­­­gner les femmes dans notre province. Les services exis­­­­­­­tants devraient renfor­­­­­­­cer leur connais­­­­­­­sance et l’ap­­­­­­­pli­­­­­­­ca­­­­­­­tion de la conven­­­­­­­tion d’Is­­­­­­­tan­­­­­­­bul (préven­­­­­­­tion – protec­­­­­­­tion – pour­­­­­­­suites – poli­­­­­­­tiques coor­­­­­­­don­­­­­­­nées). Le person­­­­­­­nel des services qui rencontre les situa­­­­­­­tions de violences conju­­­­­­­gales devrait être mieux formés sur la ques­­­­­­­tion ! Il est urgent d’avoir plus de places d’ac­­­­­­­cueil d’ur­­­­­­­gence pour les victimes.

Autres actualités

Voir toutes les actualités